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Pour traiter mes photos, j'utilise le logiciel libre darktable. Dans darktable, la table lumineuse permet de visualiser et de chercher des photos. La chambre noire permet, quant à elle, de les traiter via l'activation de modules.

L'import des photos se fait depuis une arborescence de fichiers. Les traitements associés à chaque photo sont enregistrés dans un fichier XMP. Ce fichier est localisé au même endroit que le fichier raw : c'est très pratique pour retrouver les traitements effectués sur des photos provenant de backups.

Je travaille avec un workflow classique utilisant le module courbe de base afin de reproduire le rendu JPEG du boîtier. La version 3 de darktable propose de nouveaux modules permettant de passer sur un workflow RVB. Je n'ai pas encore assez expérimenté ce workflow pour y passer complètement. Afin de réduire le temps de traitement des photos, en plus des modules activés par défaut, j'active plusieurs modules via un style pré-enregistré.

Les modules peuvent être dupliqués afin d'effectuer des traitement additionnels. Il est par exemple possible de dupliquer le module exposition afin d'appliquer une exposition différente sur une zone d'une photo. Les masques permettent de sélectionner des zones manuellement ou de façon paramétrique.

Après import, plusieurs modules obligatoires sont activés :

Les modules suivants sont activés par défaut par darktable et avec mon style :

  • balance des blancs : pour ajuster la balance des blancs. Si besoin, un spot de sélection permet d'ajuster très facilement le réglage en sélectionnant un gris neutre sur l'image.
  • correction des objectifs : pour corriger, entre autres, la distorsion et le vignettage de mon objectif.
  • courbe de base : permet de récupérer des couleurs et du contraste. J'utilise le profil neutre sans préservation des couleurs. Cela permet d'avoir un rendu similaire au JPEG généré par l'appareil. J'expérimente les modules filmique RVB et balance couleur en remplacement de la courbe de base.
  • orientation : pour passer d'un mode portrait à paysage ou inversement si le réglage du boîtier ne me convient pas.
  • pixels chauds : pour enlever les pixels chauds.
  • reconstruire hautes lumières : activé par défaut pour éviter d'avoir des zones tronquées.
  • renforcer la netteté : pour récupérer un peu de netteté.

J'active ensuite les modules suivants selon la photo à traiter :

  • contraste luminosité saturation : pour augmenter ou diminuer la luminosité.
  • exposition : pour ajuster l'exposition positive et le niveau de noir.
  • ombres et hautes lumières : ce module permet de récupérer des détails dans les ombres et les hautes lumières. Utilisé à petites doses, le rendu est souvent bon. J'expérimente le module égaliseur de ton en remplacement de ce dernier car il offre plus de précision sur les zones à éclaircir ou à assombrir.
  • recadrer et pivoter : j'utilise en général le recadrage afin d'imprimer des photos.

Pour découvrir le logiciel, je vous recommande de vous rendre sur darktable.fr qui propose de nombreuses ressources. Certaines de mes photos sont disponibles sur walldir.com.

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Voici un rapide test du smartphone Huawei Y5 2018 (DRA-L21) que j'ai récemment acheté. C'est un téléphone d'entrée de gamme avec les caractéristiques suivantes :

  • Dimensions : 70,9 x 146,5 x 8,3 mm
  • Poids : 142 g
  • Écran : 5,45" 18:9 (1440 x 720 px, 295 ppp)
  • Processeur : MediaTek MT6739 (quad-core 1,5 Ghz)
  • Système d'exploitation : Android 8.1.0
  • Mémoire : 2 Go de RAM et 16 Go de ROM
  • Réseau : 2G / 3G / 4G
  • Localisation : GPS, GPS-A et Glonass
  • Capteurs : lumière ambiante, détecteur de mouvement, accéléromètre
  • Photo : capteur dorsal 8 Mpx, capteur frontal 5 Mpx
  • Batterie : 3020 mAh
  • DAS : 0,36 W/kg (tête) 1,06 W/kg (corps)
  • SIM : dual SIM (nano SIM)

A l'ouverture de la boîte, on trouve le téléphone :

Huawei Y5 2018 dans sa boîte
Huawei Y5 2018 dans sa boîte

Les accessoires livrés sont les suivants :

  • un chargeur ;
  • un câble USB ;
  • un guide de démarrage rapide ;
  • une carte de garantie ;
  • un outil d'éjection de la carte SIM ;
  • et des écouteurs.
Contenu de la boîte
Contenu de la boîte

Le Huawei Y5 2018 affiche un écran qui couvre environ 74% de la surface frontale du téléphone.

Android 8.1.0
Android 8.1.0

Le téléphone est livré avec Android 8.1.0 qui tourne avec la surcouche EMUI 8.0.0 de Huawei. Le processeur affiche des performances correctes pour les usages basiques : internet, mails... Certaines applications peuvent saccader.

Au dos du téléphone, on trouve le capteur dorsal qui propose une bonne qualité en extérieur mais mauvaise en intérieur. Le capteur frontal est assez mauvais dans toutes les situations.

Dos
Dos

Le bouton on-off et le bouton de volume sont sur la tranche droite du téléphone. Ils sont agréables à utiliser.

Boutons de la tranche droite
Boutons de la tranche droite

Le téléphone a deux emplacements nano SIM et propose un port microSD dont la capacité peut aller jusqu'à 256 Go.

Tiroir SIM et microSD
Tiroir SIM et microSD

Le tiroir est simple à ouvrir avec l'outil d'extraction.

Tiroir et outil d'extraction
Tiroir et outil d'extraction

En haut du téléphone, il y a une prise Jack 3.5 mm.

Prise Jack 3.5 mm
Prise Jack 3.5 mm

En bas, un port micro USB permettra de charger le téléphone en 3h environ. La batterie tient plusieurs jours en utilisation normale et jusqu'à une semaine environ en utilisation basique.

Au niveau téléphonie, je n'ai pas rencontré de problèmes d'accroche ou de qualité sur le réseau Free.

Micro USB
Micro USB

Plusieurs applications sont installées par défaut dont certaines ne peuvent être supprimées (HiCare, YouTube par exemple). Par ailleurs, en Wi-Fi, des données sont envoyées par des applications telles que Facebook App Manager alors même que l'application Facebook n'est pas installée : niveau confidentialité on passera donc son chemin.

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